lundi 29 juin 2020 : Pont des Arts: les parasites des pont piétons parisiens ont fait une tentative timide de re-démarrer la destruction du patrimoine national....

.... en colonisant quatre (seulement - hooray ! ) des 16 lampadaires du PDA :

cette petite mais toxique grappe de mines anti-culturelles posée
par les revendeurs à la sauvette sur le PDA comme 
appât-à-tour-erristes est apparue ce matin : elle a été enlevée 
de manière chirurgicale peu de temps après ; 




ceci est dommage : à peine sorti des 70 jours de 
confinement, dont la pause paisible d'activité criminelle 
sur le PDA a permis à l'Assoc. d'y nettoyer des dizaines de 
milliers de tag et d'enlever des tonnes de cadenas résidus sur 
ce bijoux du patrimoine national français,  quelque clampin
nous a accroché  un cadenas de la haine dans les branches de ce lampadaire innocent (ce qui rend trèèèèèès difficile, son 
enlèvement ) ;  



ici on voit le même lampadaire, avec la Joconde en 
arrière-plan, avant nettoyage de la partie inférieure
(on doit être plusieurs pour enlever  les cadenas attachés 
si haut ) ; 



Les élections municipales parisiennes sont donc terminées.

Aidez-nous à présent à stopper cette barbarie une bonne fois pour toutes  !

Pont Solférino / Pont des Arts : des nouvelles de ce vendredi 12 juin 2020

Pont Solférino : 
Progress continues :










Pont des Arts : Incroyable mais vrai:
Les parasites des ponts piétons parisiens ont osé A NOUVEAU coloniser huit lampadaires du PDA :





Tout a été enlevé, c'est en voie de recyclage...

Mercredi 10 juin 2020 - des images de la passerelle Léopold Sédar Sengor nettoyée du désastre écologique des cadenas

Mardi 9 juin MMXX - Sophie Writes :

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Projet

Le goût de contempler, posé sur le présent,
Les flots réunis de l'écoulement du temps,

S'éloignant des îles, déjà mélancolique ;
L'idée de défendre, dans des lieux publics,

La possibilité d'un espace commun ;
Bref l'agitation de quelqu'esprit cajun.

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Passerelle Solférino  

Bastingage ; appui ; et au-delà, le large.
Toute l'après-midi, écrasement uni
Des nuées dont enfin, l'horizon se décharge.
Jefferson détourné, seul, des États-Unis.

Vibrations du pont, sous les vents saccadés
Poussant la grisaille des masses moutonnantes
Sur le fond vers lequel notre course est guidée.
Balancement léger de toute la charpente.

Vers l'ouest, vers l'ouest ! Vers la terre où s'élèvent
Les architectures de vitres et de fer !
Baisse d'intensité, jusqu'à ce que s'achèvent
Au loin en fondu les chromatiques transferts.

Là, où se concentre la luminosité,
Estompement en une unique fluidité
De jaune crémeux de mauve et rose grisés
Que le flot isole en de fluctueux filets.

Soudain, au-dessus, cris : un groupement de sternes,
Filant, déterminé—rives qui se rapprochent !
Apparition de la flamme de lanternes,
Qui, vers le bas des eaux, s'étire et s'effiloche.

Civilisation ponctuant de signaux
L'obscurité où tout le reste s'incorpore ;
Lueurs chaleureuses, près des quais, des bateaux ;
Compacité de l'eau lisse et noire du port.

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Etat du Patrimoine : Pont des Arts / Passerelle Léopold Sédar Sengor (anciennelent Pont Solférino) ... ce samedi 6 juin MMXX

Alors que les parasites du patrimoine continuent à narguer ("braver avec un mépris moqueur") la police et la populace parisiennes, en vendant (sans trop de gêne) leurs accessoires à destruction urbaine en haut de la passerelle Solférino, les adhérents de l'Association des Amis des Ponts Piétons Parisiens sont heureux d'annoncer que notre intervention en cette période de post post-Confinement, et de pré-élections municipales, commence à porter ses fruits :

Sur le Pont des Arts : samedi soir, le 6 juin 2020, les vendeurs à la sauvette de cadenas illégales n'étaient pas de retour (après notre action de vendredi soir, lorsque nous avons enlevé une demi-douzaines de "grappes" qui étranglaient les lampadaires depuis la veille).

Sur le  Pont Léopold Sédar Sengor  (anciennement Pont Solférino): Environ 50% de la balustrade coté Tour Eiffel est entièrement nettoyé de cadenas.

L'équipe de vendeurs à la sauvette dont Monsieur Lovelox lui-même est présente sur ce lieu anciennement magnifique tous les jours, mais leur comportement a changé: ils ont compris que la Ville de Paris réagit enfin.

Monsieur Lovelox et sa boutique, jeudi 4 juin 2020  




Monsieur Lovelox remballe ses cadenas après 
une dure journée de dégradation de la voie 
publique,  jeudi 4 juin 2020 @ 19h15 : 



Monsieur Lovelox s'apprête à planquer son sac plastique 
rempli de cadenas  toxiques en bas du Pont Solférino : 



La boutique de Monsieur Lovelox, 
aujourd'hui samedi 6 juin 2020 



Monsieur Lovelox tient sa 
boutique en haut de la passerelle Solférino... 
en 2016 ! (il n'a pas changé d'enseigne en 
presque cinq années). 

Pont des Arts : Les Parasites des Ponts Enchainent les Lampadaires à Nouveaux

Une demi-douzaine de lampadaires sur le PDA ont revu ça hier : 

Ils ont été enlevé.

Vigilance !

Mercredi 3 Juin 2020 : Mise à Jour : Pont des Arts ; PONT SOLFÉRINO - INTERVENTION ENFIN d'Hommes et de femme politiques

Aujourd'hui mercredi 3 Juin 2020, les Amis des Ponts Piétons Parisiens sommes heureux d'annoncer à tous nos adhérents les bonnes nouvelles suivantes :

1) Sur le Pont des Arts : Notre travail intensif de nettoyage pendant les 70 jours du confinement (des dizaines de milliers de tags à encre indélébile sur les panneaux en verre effacés, plusieurs milliers de cadenas rouillés posés en peu partout sur le pont enlevés) semble encore être intact.

Plus joyeux encore : ayant constaté que la donne a changé cette fois, et ayant compris que les parisiens en ont enfin eu assez de leur parasitisme et la dégradation que cela entraine, les trafiquants de cadenas de la destruction, semblent pour l'heure avoir renoncé à tenter de re-coloniser les lampadaires (et d'autre parties) de ce bijoux du patrimoine national.

En effet le lendemain-même de la fin du confinement, c'est à dire mardi 2 juin 2020, alors que le PDA avait retrouvé son splendeur d'avant-lovelox pour la première fois depuis plus de cinq ans, des adhérents de l'Association ont téléphoné pour dire que une demi-douzaine de "grappes" de cadenas ont réapparue - dans la nuit du 1er au 2 juin - sur la moitié des 12 lampadaires que les trafiquants avaient l'habitude de coloniser avec de vulgaires cables anti-vols de vélo, sur lesquels ils enfilaient ds cadenas comme appât-aux-touristes.

Comme ici : 


Et ici (les revendeurs de cadenas tentent 
de re-coloniser les lampadaires du 
Pont des Arts, le 2 juin 2020, les graffitis 
s'en suivent) (cadenas 
enlevés depuis) :
 

Cette nouvelle tentative par les trafiquants a été éradiquée aussitôt par les bénévoles de l'Association, il y a quatre jours donc, et depuis, il n'y a pas un seul cadenas qui parasite sur le PDA.

2) Sur le Pont Solférino : l'Association des Amis des Ponts Piétons Parisiens a réussi à libérer dix-neuf pans de grillages, des 46 sections de grillage (les espaces rectangulaires de grillage entre les renforts verticaux de la balustrade) de chaque coté du pont, coté en amont (Notre Dame), comme coté aval (Tour Eiffel) :

Dans cette photo : on voit 18 sections de grillage de la balustrade, entièrement nettoyées de cadenas rouillés, toxiques, dangereux, sur le quadrant rive Gauche / Coté en Aval (Tour Eiffel) du chef d'oeuvre de Marc Mimram ; 



Pour la première fois depuis plus de cinq ans (minimum), on peut admirer le Grand Palais à travers les grillages de la Passerelle Léopold Sédar Sengor (la vue n'est plus bloquée par un rideau de fer rouillé & sale) ; 



Dégradations horribles sur la Passerelle Léopold Sédar Sengor  en voie de disparition ; 



3) Toujours sur le Pont Solférino, aka la Passerelle Léopold Sédar Sengor : 
L'Association des Amis des Ponts Piétons Parisiens est heureux d'annoncer que nos voix ont enfin été entendus, par des acteurs de première importance au sein du gouvernement local :

Quelques grands femmes et hommes de la Ville de Paris - dont nous pourrons vous donner les noms d'ici-peu - ont été tout aussi scandalisés que nous, lorsque nous leur avons montré le pillage organisé qui a lieu tous les jours sur la Passerelle Solférino - malgré la loi et la volonté de la Ville de Paris.

Quand nous parlons de "volonté de la Ville de Paris," nous parlons bien sûr de la campagne "Lovewithoutlocks.fr/paris", cette campagne lancée après la rénovation du Pont des Arts en juin 2015, date à laquelle la Ville de Paris avait installé des panneaux en peu partout sur ses pont piétons, annonçant la nouvelle illégalité de la vente ou  la pose de cadenas soit-disant de l'amour, qui priaient les touristes à "sauver nos ponts" en s'abstenant au vandalisme.

L'idée de "Lovewithoutlocks.fr/paris" au début  (été 2015) : 


La réalité de la campagne "Lovewithoutlocks.fr/paris",  juin 2020 : le site est défunt ! : 


Des dizaines de panneaux posés par la Ville de Paris, pour alerter les touristes que le fad des "lovelox" est terminé, passé, révolu, dans le rétroviseur de l'histoire urbaine, sont arrachés, vandalisés, enlevés, détruits par des revendeurs de cadenas sur le Pont Solférino:
 



4) Pont Solférino : Vendeur à la sauvette de cadenas, le dénommé "Monsieur Lovelox" (throw the key in the river), photographié en flagrant délit : cette personne qui est en haut de la Passerelle Léopold Sédar Sengor tous les jours depuis minimum CINQ ANNÉES, se moque de la police parisienne et de la volonté de la vaste majorité de ses habitants, et continue à parasiter sur ce haut lieu du patrimoine nationale:

Monsieur Lovelox gardant jalousement sa 
boutique en haut du pont : 


Dans cette vidéo filmée depuis la rue Solférino, aujourd'hui mercredi 3 juin 2020, on voit Monsieur Lovelox à peine dérangé dans son activité commerciale illicite, par l'arrivée d'une patrouille de police, qui répondant à un appel concernant "vendeur à la sauvette en haut du Pont Solférino"  :

Dans cette vidéo, on voit le revendeur de cadenas Pont Solférino remballer sa boutique en haut du Pont - juste après le passage de la police - il va descendre sa cargaison toxique, la planquer avant la réouverture de sa boutique demain matin. Pourquoi la police parisienne ne confisque-pas t-elle ce matériel ? 

La Ville de Paris a dépensé des dizaines de millions d'euros pour élaborer et mettre en place cette campagne sensée protéger l'infrastructure du patrimoine nationale. Accepterons-nous son échec ?