Réponse : Il y a dix-huit mois environ, les vendeurs à la sauvette de cadenas aka "lovelox", ont compris que les touristes aiment personnaliser les cadenas qu'ils leur vendaient.
C'est pourquoi des CENTAINES de MILLIERS de cadenas que l'on peut voir accrochés bêtement sur les grillages de la Passerelle Solférino en ce moment, par example, ou sur les lampadaires du Pont desArts, portent des inscriptions faites au marqueur permanent.
L'origine des ces horribles graffitis : les revendeurs de Lovelox se sont mis à vendre des feutres à encre permanentes directement aux touristes! Les touristes gribouillent donc sur leur cadenas chinois un petit "message d'amour" (qui sera effacé plus tard par les trafiquants, qui récupèrent certains cadenas dont ils possèdent plusieurs cléfs, pour les revendre plus tard aux touristes doublement dupés Ndlr.), ensuite, après avoir accroché leur lovelox à des grappes de cadenas qui ressemblent à des tumeurs abdominales en phase particulièrement avancée de métastase, les touristes se font un selfie avec le souvenir de leur petite guerre de terrorisme culturelle contre Paris pendu en arrière plan; puis l'un d'eux regarde la scène et décide qu'ils n'ont pas suffisamment chié sur le patrimoine culturel français, il va faire comme des autres et utiliser son Bic Marker pour inscrire ses initiales sur le verre des panneaux de la balustrade, s'il est très créatif il mettra la date et un smiley face.
Croyez-le-nous, ami(e) des Pont Piétons Parisiens : si les revendeurs de lovelox pouvaient vendre des lance-grenades aux touristes sur le Pont des Arts, nous aurions aujourd'hui des centaines de milliers d'impacts de balles dans le verre de la balustrade, au lieu d'impacts de feutres.
It is amazing how effinf stoooopid and sheep-like tourists can be : it's monkey-see monkey-do all the way all the time. Thank you for clearing these sickening reminders of the stupidity of our friends from afar from the vertical streets of our pedestrian bridges : I own an apartment that overlooks the Pont des Arts (quai Malaquais) and have watched the evolution of the disgusting graffitti left behind by the vicious tourists who are fooled into being vicious, true, but who neveretheless are responsible for shitting upon (your words) one of the finest centerpieces of Parisian urbanism. As such I can attest to the fact that the vandalism one sees on the PDA started gradually at first, then became a torrent. I share your analysis that if the vandalism is removed as you are doing, then future tourist-sheep will refrain from participating in this sickening free-for-all. Cheers, - Hervé
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